veille tutorat

veille pour de DESS CVIR

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vendredi 30 mai 2008

Lu chez vincent à propos du rôle social de l'entreprise et des identités culturelles qui se créés et se jouent en son sein.

Enfin, il est important de noter le rôle de l’organisation. En effet, L’entreprise a un double enjeu. Le premier concerne le besoin de mobiliser les salariés pour faire du profit. Le second enjeu concerne son rôle de socialisation. Ainsi, l’entreprise doit mettre en place des formes d’implications et favoriser l’intégration sociale. La performance économique étant dépendante de la performance sociale et des rapports au travail entre les divers acteurs de la production. L’entreprise s’appuie donc sur des mécanismes de reconnaissance des individus au travail et sur des modèles d’intégration. Ceux-ci diffèrent selon l’époque, la culture et les caractéristiques de l’entreprise.

font office, back office, workflow

Je viens de lire cet article du blog territorial, par ailleurs fort intéressant sur la communication comme levier à l'intégration urbaine.

En voici le résumé.
Pour répondre à ces attentes, trois territoires, plus ou moins nouveaux doivent être investis par les communicants : l’espace urbain, car il est le lieu du social, la modernisation des services au public parce qu’il existe une demande forte en ce sens et, enfin, le management du changement pour aider nos structures trop lourdes à retrouver un peu d’agilité.

Dans la troisième partie, il évoque, à propos de la conduite du changement, un mode d'organisation "

Nous nous trouvons dans une situation un peu comparable à celle des banques, lorsque au début des années 80 elles durent faire face à un accroissement massif de leur clientèle et à un enrichissement considérable de leurs offres. La réponse qu’elles trouvèrent pour améliorer leurs services, en les individualisant tout en assurant leur traitement en masse, se fondit sur une réforme organisationnelle radicale distinguant le front-office du back-office. Au back-office le soin d’administrer les affaires. Au front-office celui d’assurer la gestion de la clientèle, soit globalement, soit de façon spécialisée selon la nature des besoins (gestion de patrimoine, asset management…).

Ces réformes ont été rendues possibles par les techniques de workflow, tout droit venues du traitement et de la transmission de données. Aujourd’hui, l’ensemble de ces moyens techniques est disponible à un coût désormais limité : gestion de données, intranet… Reste le plus difficile à traiter : convaincre les personnels, les mobiliser, les motiver en fixant un nouvel horizon au service public sur lequel ils ont bâti leur choix professionnel.

mercredi 28 mai 2008

mardi 27 mai 2008

A la découverte du Web sémantique

observatoire des ENT

Observus, est un labo pour créer de furuturs ENT. Je me suis inscrit sur la plateforme à voir

Utiliser les archives ouvertes en TPE, une idée

A retenir, cette activité sur l'usage des archives ouvertes en TPE. C'est ici, sur l'excellentissime site de l'académie de Rouen.

vendredi 23 mai 2008

Pour verser au dossier sur la collaboration, ce schéma de chez dismoitic qui différencie collaboration et collabor'action. C'est du second concept, collaboratif, dont je parle quand j'écris collaboratif vs participatif

y'en a d'autres qui n'ont pas fini leur journée

En écho à cet article que j'ai écrits sur les anciens du desscvir à propos de "je n'ai pas fini ma journée", un billet de jacques houdremont qui se demande si "la valeur référente du développement numérique ne serait pas l'être humain".

Je crains fort que lui et moi ne soyons des idéalistes, un peu !

jeudi 22 mai 2008

collaboratif vs participatif

A la suite de cet article, je me pose la question de la différence entre collaboratif et participatif.

On connait la distinction entre coopératif et collaboratif. l'un est successif : c'est la main gauche qui ignore ce que fait la main droite ! Mais les deux concourent à un résultat dont elles sont dépossédés. Je ne critique pas pour autant ce mode-là. Il est utile dans certains contextes et à l'école, il est aussi un mode d'apprentissage. C'est le mode projet par excellence.

Le collaboratif, c'est tout le monde fait tout et s'enrichit mutuellement. C'est l'apprentissage socio-cognitif par excellence, car il y a conflit, négociation avec les pairs etc. Le mot central est bien pair et la phrase slogan "on n'apprend tout seul mais jamais sans les autres" (citation de mémoire - l'auteur est Philippe Carré il me semble). Nous ne sommes plus dans du successif mais dans l'ellipse. Toujours revenir au départ et enrichir encore ce qui a déjà été vu. C'est la communauté de pratiques.

Si coopératif et collaboratif viennent du monde de l'entreprise et de l'éducation (mais qui de la poule ou l'oeuf... ?) le participatif vient d'un autre monde, celui de la politique et des collectivités locales. Dans certaines commune, et cela tend à être imité désormais partout, c'est la volonté de mieux associé les citoyens aux décisions et de les rendre acteurs d'une part de la viue de la Cité. C'est les conseils de quartier que la loi consacre désormais, mais aussi les conseils des anciens et pas mal d'autres initiatives. Pour plus d'information, je vous conseille l'ADELS, sa revue territoire et le livre sur la démocratie participative.

La démocratie participative s'est aussi développé sur le terreau du web. Forum non modérés, expression des associations etc. ont été des actions voulues et encouragées par des communes, et des maires éclairés. C'est surtout dans l'Ouest (la roche /yon, Niort), et surtout des communes de gauche (mais pas seulement) que ces expériences se sont développées.

Bien sur le vocable se trouve à son apogée lors de la campagne présidentielle de Ségolène Royale puisqu'il en est le cœur, mais c'est quand même un mouvement qui a une bonne quinzaine d'année.

La démocratie participative serait donc le pendant actif de la démocratie représentative qu'elle n'entend pas remplacer mais enrichir.

Je pense que le collaboratif est quelque chose de facilement admis dans les organisations car, finalement, il ne remet rien en cause et surtout pas les processus de décision et finalement le mode de gouvernance des organisations. Le contexte dans lequel il s'élabore n'est pas fixé par les individus mais par la hiérarchie. En ce sens les communautés de pratique en sont un exemple avec souvent comme parrain, un haut cadre. C'est dans le cadre que se développe la collaboration.

A mon avis le participatif est beaucoup plus subversif car s'il demande échange, interaction comme le collaboratif, il demande aussi que les personnes qui participe définissent au préalable LEUR cadre. Et à ce jeux les hiérarchies sont sur le même pieds que les simples soldats, même si au final les décisions seront prises par elles.

Et je crois que cela change tout !

Le participatif englobe le collaboratif et remet l'individu au centre de tout, notamment en posant comme préalable son intelligence et sa liberté absolue. Ce n'est pas de l'anarchie car il y a toujours un processus de décision et des décisions qui sont prises et elles le sont par un leader. Mais ces décisions ont un sens.

Le coopératif, c'est la suite mathématique, le collaboratif c'est l'enrichissement par les pairs, le particpatif, c'est la négociation collective du cadre, du contexte. A mon avis !


lundi 19 mai 2008

Le temps... formation lourde, microformation etc.

Je susi en train de travailler sur une formation à la recherche d'information, et en même temps je me forme moi même sur des choses que j'ai laissée de côté en attendant le temps de le faire.

D'où cette réflexion : on apprend mieux au fil de l'eau, un peu tous les jours, en contexte, peut être, mais les journées ne durent que 24 heures, et donc, on met de côté.

Qu'un évênement imprévu vienne bousculer le temps et nous voilà sous la contrainte dans la formation lourde. On délaisse la veille pour la recherche d'information.
Les deux modes d'apprentissage sont en dialogue. il ne faut pas en supprimer un sous prétexte qu'il out of date.
Il y a juste du temps à gérer

Blogger, céest créer un réseau avec soi-même

lu ici, cette citation de rivarol "quelqu'un qui parle, c'est quelqu'un qui pense tout haut"

Une bonne définition du blogging ? C'est d'abord soi que l'on touche quand on s'exprime. Il y a donc deux ointerlocuteur, l'autre potentiellement et soi. Blogger c'est cré&er une boucle, un réseau avec soi même

Plus bas, l'auteur, dit à propos de la relation entre langage (mise en syntaxe) et pensée :

Il vaut donc mieux être capable de verbaliser un maximum de ses pensées (non pas pour soi-même mais au fond pour les autres…) et il vrai que la syntaxe est critique pour développer un raisonnement. En fait, il y a une interaction entre pensée et langage, et on sait aussi que la langue a une influence sur la pensée et le « mode de penser »[3], sans les construire toutefois. Le lien entre pensée et langage n’est pas linéaire.

dimanche 18 mai 2008

Recherche d'informations et webssssssssssss

La fin de la recherche plein texte, l'arrivée du langage naturel, de la recherche sémantique des moteurs intelligents...

25 outils de réseaux sociaux pour les bibliothèques

Décidément, l'époque est aux listes d'outils. APrès les 100 outils du e-learning, voici les 25 pour les bibliothèques avec des idées à creuser. Déjà, faudrait que je relance les netvibes pour le CDI.

vendredi 16 mai 2008

Nous ne lisons, pas nous scannons

C'est chez Francis Pisani et j'ai rien à rajouter sur la question

enseignement vs apprentissage : le tuteur est au milieu

Voici un commentaire laissé par jacques Rodet chez Guy boulet qui se propose de distinguer formation, apprentissage et productivité. Si je ne suis pas convaincu par ce que dit Guy, j'adhère complètement à ce que dit Jacques.

La formation = de l'enseignement + de l'apprentissage + du support à l'apprentissage + de l'évaluation.

L'enseignement c'est le métier de l'enseignant ou du formateur
L'apprentissage c'est le « métier » de l'apprenant
Le support à l'apprentissage c'est le métier du tuteur
Ces trois acteurs sont susceptibles de pratiquer des évaluations

jeudi 15 mai 2008

mardi 13 mai 2008

mozclouds

Je viens de tester les mozclouds sur ma page d'accueil de relation, transformation, partage. C'est pas mal comme truc. Si j'ai tout compris, on peut ensuite faire une recherche à partir de ces tags directement. A tester plus en détail !


undefinedinformation
undefinedinformations
accompagnement tutorat
accompagnement
analyse
animation
apprentissage
besoins
blog
brainstorming
cartographie
cdi
citoyenneté
classement
collaboratif
communauté
communautés virtuelles
communautés
compétences
connaissance
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curriculum vitae
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dess
desscvir
didactisation
docs
document
documentaire
documents
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démarche commerciale
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flux
formateur
formation adulte
formation
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heuristique
histoires
identité numérique
identité
information
informatique
intelligence stratégique
journalisme
l'information
lecture
management connaissance
management l'information
management service
management
marketing
media
metacognition
mindmapping
mining
moteur
métier
netvibes
numériques
organisation
outil
outils
page personnelle
partagée
peirano
politique documentaire
politique
portail
portfolio
pratiques
professionnelle
profs
publicité
questionnement
recherche documentaire
recherche
relation transformation partage
relation
représentation
richard peirano
rss
sources
storrytelling
symbaloo
système undefinedinformation
système d'information
système
temps
thesaurus
transformation
tutorat
télétravail
usages partagés
usages
veille
virtuelles
wordpress
éducation
évaluation

Le KM va-t-il disparaître ?

intéressant billet chez outilsfroids sur l'impact des outils sur les organisation et collatéralement la fin du KM selon lui.

j'aurai tendance à penser que les technologies 2.0 sonnent la fin du KM, sa dissolution complète et définitive dans les pratiques triviales de l'entreprise. Je n'ai rien contre le KM, au contraire c'est un sujet qui me passionne depuis longtemps déjà, mais lorsqu'on arrêtera d'en parler cela signifiera que les organisations l'ont enfin intégré (ou qu'elles ont disparu pour ne pas l'avoir fait assez vite). Il me semble que rendre le KM invisible sera un des effets collatéraux de l'introduction des technos 2.0 dans l'entreprise.
Ce sera la fin du KM car on va arrêter d'en parler. Quand on parle, on fantasme, on espère, on redoute... ce qui n'existe pas ! Cela revient à marteller des slogans en espérant, comme par magie, qu'ils deviendront réalité.

Ce qui me parait intéressant dans cette disparition annoncée, c'est que ce qui va disparaître c'est le KM vu comme un fonction réifiée, autonome ou non, de l'organisation. Il va être remplacé par les hommes, les particules élémentaires de toute organisation. C'est la fin de l'organisation struturante et centralisé. On n'organise plus au niveau macro mais au niveau micro : celui de l'humain.

Ce n'est pas étonnant si apparaît aujourd'hui cette figure du knowledge worker à qui on demande
- de faire du KM plutôt que des beaux documents
- mais aussi de la veille plutôt que de la recherche d'information,
- d'apprendre au fil de l'eau, via les flux rss plutôt que par des formations lourdes, (micro-formations)
- de former ses proches, plutôt que d'aller au lointain (développement durable)
- d'être largement autonome et de déléguer au maximum...

C'est la fin des spécialistes - demain tous généralistes ! Car demain, on devra être un peu KMer, veilleur, formateur, collaboratif... Tous les métiers veulent ces perles rares ! Et finalement le coeur de métier se fond dans cet ensemble et devient quelque chose d'anecdotique.

C'est aussi la fin du temps vu comme des blocs successifs au profit du continuum ! et c'est la fin de la distinction professionnel / privé, où mine de rien le temps organisateur de la vie est le temps professionnel (journée de travail, retraite), au profit d'un temps social / temps privé dont le centre est l'individu et non plus l'organisation.

La tentation de contrôler les connaissances hors des humains a échoué. Les barrages cèdent ! on ne peux pas arrêter le flux, on peut le piloter. Ou essayer !

Que reste-t-il aux organisations ? Organiser des contextes favorables à l'épanouissement des knowledges worker. Elles doivent désormais devenir des terreaux fertiles !


Effets de groupes sur Internet

Yann Leroux est psychologue clinicien et psychanalyste. Il étudie la dynamique des relations en ligne en général et en particulier les similitudes de comportement de groupe dans les environnement numériques (webs, forums, réseaux sociaux, jeux en ligne…).

Il gère le domaine http://www.psyapsy.org sur la psychologie et le blog ePsychologie (http://yann.leroux.free.fr/), carnet de note pour la thèse qu’il mène sur les groupes en ligne. Yann Leroux est également membre de l’Observatoire des Mondes Numériques en Sciences Humaines, http://www.omnsh.org/.

Interviewé par Suzanne Galy, pour Aquitaine Europe Communication

Psychologie des groupes sur internet
envoyé par suzannegaly

jeudi 8 mai 2008

Veille partagée avec pagesflakes et tumblr

Vu sur slideo, cette vidéo de Philippe Soussin sur comment faire une veille partagée avec Pagesflakes et tumblr. A mettre en rapport avec mon billet sur del.icio.us sur relation, transformation, partage.

samedi 3 mai 2008

Apprendre, c'est construire son identité

Lu ici

Pourquoi va-t-on à l'école ?
- pour avoir un emploi ?
- pour répondre à la demande économique et sociale ?
- pour devenir citoyen ?
- pour avoir des relations sociales ?...

n'hésitez pas à mettre en commentaire les raisons pour lesquelles on va à l'école. Quelque part, il y aura aussi une réponse à la construction de l'identité.