veille tutorat

veille pour de DESS CVIR

loading...

mercredi 30 avril 2008

On n'est pas encore tous des geeks ! (est-ce seulement qu'il le faut...)

Chez Guy Boulet, à propos d'une étude américaine qui laisse entendre que :

les travailleurs demandent de plus en plus de formation mais les employeurs ne leur offrent pas plus de soutien pour le faire.
Sans blague. Il s'agit probablement des mêmes qui proposent les outils ultra super géniaux qu'on utilise jamais. Pauvre -1.0 !

Il y a quand même un hiatus entre ce que nous ressentons, gens du 2.0 et le reste de la société. cf, chez savoir en réseaux la mise en garde du cnrs à ses membres sur l'hébergement on the clouds !

Formation transversale et retour des généralistes

Chez Guy Boulet, voici ce qu'il dit de la formation transversale :

la formation transversale est un excellent moyen pour une entreprise, en particulier une PME, de devenir une organisation apprenante car en permetant aux employés de développer une vision globale de l'entreprise, elle leur permet de mieux mesurer les impacts de leurs actions sur les autres membres de l'organisation.


On a besoin de généraliste spécialiste. Cela me rappelle un peu l'histoire des métiers de l'éducation. A un moment, il y avait en collège des sous-profs qui étaient issu des anciennes écoles primaires (après 68). Face à eux des capétiens disciplinarisé, sortant de l'université. Un certain mépris de ces derniers face à ces anciens instits et le statut a d'ailleur disparu par intégration dans le corps des capétiens. Pourtant ces anciens instits qui enseignant trois ou quatre disciplines étaient bien apprécié par les élèves, car moins segmentés.

les 100 outils d'apprentissages

Via Guy Boulet, les 100 outils d'apprentissage avec en tête del.icio.us suivi de firefox et google reader. Parmi ces outils, des trucs que j'ai en réserve et que j'aimerais bien essayer, elluminate, eXe, powerpoint, ning, voicethread (que j'ai un peu testé dernièrement), yugma, Zotero (j'ai déjà essayé et j'ai du mal à en comprendre l'intérêt).

Classement intéressant où l'on retrouve à peu près tout ce qu'on attend !

vendredi 25 avril 2008

connaissances sur internet, savoir sur le codex ?

Jean-Michel Salaûn fait un papier (;-) sur les paradoxes de wikipapier, c'est à dire l'édition papier, en Allemagne, de wikipedia. parmi les trois réflexion que lui inspire cette édition contre-nature, il évoque celle-ci :

Crédibilité. La reprise par un grand éditeur du travail de l'encyclopédie en ligne, du moins dans sa version allemande, est une victoire des Wikipédiens qui montrent ainsi leur crédibilité reconnue par les vestales de la distribution du savoir traditionnel. Mais inversement, c'est aussi une victoire pour le codex qui montre ainsi qu'il reste le meilleur garant de la stabilité des savoirs.
Est-ce à dire que le savoir, considéré comme une objectivation des connaissances, est un produit de l'univers du livre alors que la connaissance, considéré comme quelque chose en perpétuel mouvement et complètement subjectivisé aurait atteint trouvé en Internet son moyen d'expression idéal, un stade industriel déréifié des personnes ?

Peut-il y avoir un savoir avec internet ?

dernière question, pourquoi ai-je parlé de papier pour caractériser le texte de JMS ?

Un environnement personnel d'apprentissage, celui de AnneC sous mindomo

C'est ici et normalement cela devrait s'afficher sur le blog mais ça veut pas. je n'ai pas le temps de chercher pourquoi. Si qqn peut me dire comment faire. j'ai fait une copie embarqué et j'ai fait un copier coller en édition html. Ma, y'a rien !!!

A propos du partage du savoir

Je viens de lire un billet sur le transfert des compétences des seniors vers les jeunes et entre collègue dans le cadre de l'entreprise.

j'en retiens quelques idées :

- il n'y a pas que le transfert vieux / jeunes à assurer mais aussi le transfert en fonction de l'évolution de la structure. J'en conclue deux choses, il faut donc articuler la veille, la prospective et le transfert des connaissances et être réactif face à l'évolution (rien de nouveau ici). Ceci étant, un être humain à une capacité de réaction limitée. Les machines et l'organisation doivent accompagner l'évolution au rythme humain et non au rythme de la machine. Et je me dis là qu'il y a probablement une raison des suicides de chez renault (raccourci facile mais expliqué ici).

-Parmi les autres transferts, l'auteur parle des transferts inter-pays dans un contexte de mondialisation mais aussi de l'évolution des métiers. En fait, le KM est à la croisée des flux. Il est l'outil de navigation des flux pour les pilotes de flux que nous sommes en passe de devenir.

- La réponse par l'outil informatique est la fausse bonne idée. Bon ça on le sait. Par contre, Martine Le Boulaire donne trois raisons pour que le KM marche à méditer :

créer de la confiance sur la pérennité des emplois, faire de l’entraide une valeur d’entreprise, mettre dans le coup les managers de proximité. Eux seuls savent évaluer ce qui est intéressant à préserver pour l’avenir de leur entité. Et repérer tous ces savoirs tacites construits sur l’expérience.
A savoir, sécurité des personnes, collaboratif pour tous et proximité des lieux de décision (renvoit à un billet en cours d'élaboration pour les anciens du dess cvir). A voir sur le même mode, sur ce troisième point, l'article de Bertrand Duperrin sur l'organisation

On abandonnerait la notion de pouvoir lié à la position pour se diriger vers un pouvoir contractuel qui n’est plus celui de l’entreprise vers son salarié mais celui que deux cocontractants ont l’un sur l’autre. Ce qui correspondrait à un rôle nouveau pour l’entreprise : celui d’organisateur de chaine de valeur et de mobilisateur de ressources extérieures.
- L'auteur, ensuite fait une différence nette entre connaissances et compétences. Si cette différence existe, la lecture qu'elle en fait n'est pas ma grille à moi - elle met trop les connaissances sur le volet savoir/objet et attire trop l'attention sur les compétences/action. A mon sens, connaissances et compétences sont intimement liées et dialoguent entre elles.

- Enfin, une dernière chose que je trouve très féconde, le transfert de compétences/connaissances ne se décrète pas. Il ne s'agit pas d'une chasse gardée, comme elle dit, mais surtout c'est une question de motivation et de capacité de la part des transmettants potentiels. Il faut quelque part être un peu prof. Donc au tryptique, veille / prospective / KM, il faut ajouter un 4e volet : former. Nous avons là, une définition du knowledge worker.




3 formes de tutorat auprès des jeunes

à retenir, ce que je viens de lire sur savoirs pour réussir à propos de l'accompagnement des jeunes vers la réussite. Nécessité d'avoir :
- tutorat d'accompagnement individuel
- tutorat d'atelier
- tutorat de ressource

Autrement dit, le tutorat à trois dimensions, une dimension individualisé dans le temps, une dimension de groupe dans l'espace et une dimension ressource : temps espace, ressource

Interprêtation très libre du billet commenté

vendredi 18 avril 2008

De l'ethnologie appliquée au monde politique

et c'est à hurler de rire. C'est nous autres les primates !

matrix on the cloud

Oui, moi aussi, ça me fait rêver, ce billet de Louis Naugès sur le "on the cloud". J'ai toujours l'intuition que la réalité du pouvoir tient dans la maîtrise des réseaux physiques. Je pense toujours qu'un Etat peut se séparer des activités software mais qu'ils doit conserver la maîtrise des réseaux physiques (chemin de fer, conduite d'eau, ligne téléphonique etc.)

Et effectivement la réalité du pouvoir des pin up du web 2.0 tient dans leurs arrières salles.

Matrix !

sciences de l'informations

Chez redpeppers, 5 fiches sur les grands courants en SIC. il faut que je les lise, un jour...

- le paradigme interprétatif
- le paradigme technologique
- Le paradigme fonctionnaliste
- Le paradigme critique
- Le paradigme déterministe

...rappel des grands paradigmes (courants de pensée) en sciences de l’information et de la communication (SIC) tout d’abord à destination des étudiants en communication, évidemment, mais aussi de toute personne intéressée par l’étude des pratiques médiatiques et de la relation de l’individu aux médias. Ces 5 paradigmes que je vais vous présenter se différencient par les présupposés théoriques sur lesquels ils se basent, la démarche méthodologique qu’ils mettent en œuvre et au final par leur conception globale des pratiques médiatiques.

Les bénéfices de la blogosphère

vu chez webilus

mercredi 16 avril 2008

Les outils du e-learning



jeudi 10 avril 2008

Augmentation exponentielle

EBSI2.0 fait un très bon papier sur la quantité d'information créé en 2007. Rien de neuf, mais quand même, ça fait du bien de l'entendre.

en 2007, le volume total d'information numérique créée et reproduite globalement a atteint 281 milliards de gigabits (soit 451 GB par personne). Pour vous donner une idée, ce nombre ahurissant est supérieur au nombre d'étoiles dans l'univers!
A mettre en relation avec le travail que je fais sur internet c'est pas magique et sur l'histoire que je racconte à ce moment là.

Besoins de documentalistes

Celui-ci je l'ai sous le coude depuis un moment. Mais je vais pas avoir le temps d'en dire plus qu'un billet d'humeur !

Après avoir lu ce que dit jusetement Bertrand, demandez-vous ce que l'Inspection Générale de L'Education Nationale veut faire de nous, les documentalistes oeuvrant dans les CDI, ceux qui se cassent le cul depuis des années pour justement mettre en avant cette éducation plus que nécessaire à l'information. Faut allez voir trois couronnes pour quelques débats en cours et notamment sur comment les non-concernés, nous, ne seront plus des enseignants, mais de vagues conseillers en communication. Allez roulez ! Il y aura d'autres billets comme celui de bertrand et on pensera encore qu'il a raison, à juste titre, dans 20 ans.

Ras le cul !

Je suis mon réseau social

Dans ce billet sur les sages sont tous du même avis, Gilles martin parle des relations, du réseau social que l'on peut entretenir avec les grands hommes, une sorte de galerie de portrait personnelle qui est à la fois un lieu ressource et un lieu d'inspiration.

En fait toute notre culture n'est qu'un tissu qui nous enveloppe. Pourquoi est-ce que je relis l'étranger de Camus ou guerre et paix de tolstoï si ce n'est pour approfondir une relation ancienne. Les grands hommes ne sont pas les seuls à faire partie de mon réseau social ; toute ma culture, toue mon identité est mon réseau social : une sorte de PSN pour personnal social networking !

jeudi 3 avril 2008