veille tutorat

veille pour de DESS CVIR

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mardi 14 octobre 2008

animation de communauté

Lu ici

Une récente étude montre même que le savoir-faire dans l’organisation de groupes sociaux cohérents et producteurs d’une information de qualité constitue certainement la base sur laquelle ce secteur sera capable de trouver sa rentabilité future.

vendredi 3 octobre 2008

la presse malade ? non l'information !

Intéressante analyse sur novision d'un fait divers. C'est la presse nationale qui a le mieux couvert un fait divers alors que la presse locale, engluée dans les affres de la proximité s'est fourvoyé. Et ce n'est pas les blogs citoyens, en tout cas pas les commentaires, qui ont apporté une quelconque plus value.

J'en retient l'idée que la proximité n'est pas toujours, seulement, la meilleure des choses et que la distance rapproche effectivement

jeudi 18 septembre 2008

Sur le logiciel libre

en provenance de chez Olivier, un diaporama simple et bien fait :



Reblog this post [with Zemanta]

les nouveaus apprenants

Vu chez Bertrand, cette vidéo sur les nouveaux apprenants, un peu à la manière de "we are the people"

dimanche 31 août 2008

lundi 25 août 2008

Qu'est-ce que l'entreprise 2.0


Vu chez Geoffroi Garon ce schéma très explicatif de ce qu'est l'entreprise 2.0 et plus généralemnt toute organisation apprenante

dimanche 29 juin 2008

qu'est-ce qu'une communauté ?

Définition de la communauté, vu ici, par Mopsos


Une communauté est un réseau qui décide de s’auto-organiser en se dotant de 6 éléments : une frontière, une raison d’être, un engagement, des règles, des rites et une langue.

Absence de culture sur le web : lovecraft

Un billet de Jérôme Bondu intitulé Internet participatif: aussi intelligent que le cerveau d’une mouche.

L'auteur dans ce billet revient rapidement sur l'évolution du web aujourd'hui, le règne du pro am et de la publicité. La seconde partie s'articule autour des arguments d'Andrew Keen sur le "mythe de l'amateur".

Il revient notamment sur l'absence de culture que démontre le web. C'est un argument que je trouve très juste. ma veille me conduit à suivre des fils rss de gens qui ont une culture. Et beaucoup de ces gens défendent parfois l'idée de l'inutilité de la culture (ce n'est absolument pas ce que dit Jérôme dans son billet). Mais pour pouvoir faire ce que ces gens font, il faut une culture importante.

J'ai parfois l'impression que le web, et particulièrement le 2.0, du moins ses commentateurs avertis, est aujourd'hui la propriété d'une classe intermédiaire qui vient du monde du livre et qui a la culture nécessaire pour pouvoir évoluer dans ce monde là.

Mais cette génération va être balayé par quelque chose qui arrive, ce que les contempteurs appelle la génération Y. Et personne ne peut prétendre savoir ce qui va se passer. Cela me fait penser aux textes de lovecraft comme la couleur tombée du ciel. Quelque chose arrive mais on n'a pas le langage pour le décrire, alors on utilise imparfaitement des images connues mais qui sont fausses.

La récente enquête belge le démontre, cette génération aurait 7,65/20 en recherche d'information. Et faire une recherche d'information requiert une culture nécessaire. On ne peut pas faire une recherche si on n'a pas identifié un besoin d'information et pour identifier un besoin d'information, il faut une matrice culturelle.

Alors que penser ? Est-ce que les critères proposés sont obsolètes et inapplicables à cette nouvelle génération ? Cette note de 7,65 ne représenterait alors que le mode de pensée du vieux monde ?

Un autre aspect de cette absence qui m'interpelle : la citoyenneté. J'ai l'impression que dans le débat entre l'efficacité et l'éthique, c'est ce premier point qui prend le dessus. C'est le couple compétence/connaissance qui s'impose au détriment du savoir/culture.

Il ne peut y avoir d'éthique sans une solide culture personnelle, alors qu'on peut avoir des travailleurs efficaces sans culture.

Je ne sais que penser ! Réflexions en cours

Les 3 règles du KWer

Vu sur envie d'entreprendre un billet de Bertrand duperrin qui revient sur le travail à l'ère de la société de la connaissance. Trois règles des nouveaux travailleurs du savoirs en émerge :

- Avoir du temps pour gérer, anticiper l'imprévu quand celui-ci devient la règle. Le temps devient le principal critère. A mettre en relation avec les différentes conception du temps (temps circulaire du paysan ; temps linéaire du citadin etc.) - A voir aussi le temps des marchands et l'invention de l'horloge. Quel est l'outil pour ce nouveau temps qui apparaît ? L'ordinateur ? Pas sûr ! Réflexions en cours...

- Donner de la visibilité à chacun - le web est social et son grain de base est l'individu. Connaitre les différentes expertises de ces grains peut permettre à chacun de savoir où trouver la connaissance (dont on sait qu'elle n'st jamais mieux que dans la tête des gens) selon les besoins ; d'où les communautés virtuelles (pratiques, projets etc.) qui permettent la visualisation de chacun.

- Facilité l'accès à la ressource principale : l'information. D'où la veille, le search...

samedi 28 juin 2008

Sur les cartes

Je viens de lire ce billet chez Karl sur les cartes comme un chemin.

A rapprocher de ce que dit Giono à propos des journées de prisons qu'il fit après guerre où pour lui, le plafond de sa geole était autant de chemin et de cartes.

A rapprocher du musée des cartes de Florence qui m'a fait rêvé quand j'y suis allé en 4e.

A rapprocher des vers de Baudelaire qui ont donné le nom au festival étonnants voyageurs

Etonnants voyageurs !
Quelles nobles histoires nous lisons dans vos yeux profonds comme les mers !
Montrez-nous les écrits de vos riches mémoires,
Faites pour egayer l’ennui de nos prisons,
Passer sur nos esprits, tendus comme une toile,
Vos souvenirs avec leurs cadres d’horizons.
Dites, qu’avez-vous vu ?

à rapprocher aussi, selon une géographie toute personnelle, de ce vers de Jack London dont Bernard Strainchamps, l'animateur de mauvais genres et désormais animateur de la librairie en ligne bibliosurf a fait le fronton

"Sur les rayons des bibliothèques, je vis surgir un monde de l'horizon"

L'information c'est de l'eau

Vu chez Bertrand Duperrin - à traduire et à réemployer dans un contexte à définir.

mardi 24 juin 2008

Oamos embarqué

Oamos est un ovni qui mixe son, images, vidéo, musique pour chaque questions posée. On peut désormais embarquer le spectacle créé.

Exemple avec une recherche avec le mot clé "syndicat"

Avec soi-même : rôle de l'objet

Vu sur twitter chez Christian Fauré, cette citation de Proust :

"En réalité, chaque lecteur est, quand il lit, le propre lecteur de soi-même". Proust (Le temps retrouvé)
A mettre en relation avec Blogger, c’est créer un réseau avec soi-même, avec l'aphorisme de Socrate sur "connais toi toi-même" et la metacognition.

Cette idée de retour, de mise en boucle avec soi-même au moyen d'un media qui fait miroir m'intéresse car il y a là-dedans à la fois l'idée d'autonomie de l'individu face à ses apprentissages et en même temps l'idée de création.

J'ai toujours lié autonomie et responsabilité, mais le couple autonomie création est peut être aussi très porteur.

Et si finalement l'apprentissage c'était ça : un discours avec soi-même, au moyen d'un objet extérieur à soi, sur un continuum accidenté

vendredi 20 juin 2008

la fessée

Je suis souvent en phase avec ce que dit Gilles Martin, même si nous ne sommes pas du même monde (ouh là là) et n'avons pas la même origine culturelle. Il est consultant et viens du monde de l'entreprise, je suis enseignant-documentaliste dans une maison en décrépitude.

Son dernier billet sur l'action corrective dans le management par objectif et la pseudo responsabilisation des personnes entre en résonnance avec quelques unes de mes préoccupations. Il dit notamment :

C'est simple le management par objectifs : on fixe des objectifs, et on mesure les écarts régulièrement. Et si la réalité n'est pas conforme à l'objectif, on détermine des "actions correctives", comme une bonne fessée pour faire rentrer dans le rang le récalcitrant et l'incapable.
ainsi que ceci :

Ces systèmes sont l'expression d'une vision hiérarchique de l'entreprise : le manager fixe les objectifs, et le subordonné est "responsabilisé" sur ces objectifs, et doit s'en sentir redevable. L'évaluation des performances repose alors sur une discussion souvent en tête à tête, sur des critères fixés à l'avance et si possible quantifiés (c'est ça qui fait pro dans le contrôle de gestion, la quantification !). La relation entre le manager et le collaborateur correspond à l'exercice du pouvoir de l'un sur l'autre.
alors que il faut, selon lui que les entreprises...

...qui ont compris que la capacité à apprendre plus vite que les autres, à imaginer des futurs que les autres ne voient pas, à se préparer à de multiples scénarios, choisissent des attitudes différentes : les moments d'"évaluation" ne vont plus être des séances de fessées, mais d'apprentissage collectif, où le manager ne se la joue pas "maître et esclave", mais va être le catalyseur pour imaginer des futurs différents...
A mettre en relation avec mes préoccupation sur le temps de travail et sur le participatif dans une organisation






Zemanta Pixie

Mesurer le bonheur

Intéressant article sur blog territorial sur comment mesurer le bonheur.

L’étude de Diener & Suh indique que les personnes heureuses contribuent mieux à la prospérité d’un pays, Kenny estime même que l’impact du bonheur sur la prospérité économique est plus prononcé que celui de la croissance économique sur le bonheur. Les personnes heureuses sont en général plus créatives, plus entreprenantes dans les relations interpersonnelles, plus aptes à gérer des situations difficiles, plus aimables, plus altruistes, plus à l’aise dans les prises de décision. L’argent ne fait pas le bonheur, mais le bonheur semble faire l’argent…


A mettre en lien avec ce que je pense sur le temps social et aussi avec cet adage chinois sur le travail qui n'en est pas un quand on travaille par plaisir (je n'ai pas en tête la sentence exacte) - à rapprocher aussi de l'idée de plaisir à aider son prochain ou en rapport avec le départ des seniors

dimanche 15 juin 2008

vidéo sur googleapps

Une vidéo sur Google Apps via Florence Meichel du réseau ning apprendre2.0

encore sur les compétences et les connaissances

Vu ici, cet extrait :

Ainsi, la formation procure des savoirs, que le salarié peut (doit !) utiliser à son poste de travail, et qui, ensemble, dans le temps, et avec l'expérience et la motivation nécessaire, aboutiront à des compétences réelles, mobilisables en toute autonomie.
A montrer à tous les "pure compétences" à qui le mot connaissance hérisse le poil !

vendredi 13 juin 2008

Les outils du web2.0

L'image est ancienne mais en cherchant sur mes signets del.icio.us, je viens de la retrouver, ce pourquoi je la publie ici. Elle été initialement présenté ici.

jeudi 12 juin 2008

signalé par adverbe, wordle, ce petit truc rigolo pour faire des nuage de tag "à la main"

images des nouveaux travailleurs

Dans le cadre de ma recherche pour monter la formation de ce soir pour le travail du chercheur d'information / enseignant, j'ai trouvcé cette image qui vient du récit

Prospective pour l'an 3000

Avant on n'appelait ça de l'anticipation en France, terme qui m'a toujours parru plus juste que le simple science fiction, voir speculative fiction. Aujourd'hui on parle de prospective.

C'est dingue cette impression de vivre ce que j'ai lu de la SF des années 70 : prééminence du modèle américain ; doutes sur la réalité et paralèllement relativisme généralisé ; innovations technologiques (robots, androïdes etc.) ; prééminence du réseau sur toute autre forme d'organisation sociale ; fin de la vie privé ; architecture démesurée ; catastrophe climatique ; fin du monde pour demain etc.

C'était Dick, Silverberg, Dish, Heinlein, Gibson etc.

Aujourd'hui c'est "le dessous des cartes"



dessous des cartes - prospective an 3000
envoyé par cebelab

mercredi 11 juin 2008

Taux de recoupement des principaux moteurs de recherche

Cette information, je l'ai cherché pendant longtemps et j'en aurais eu besoin hier pour la formation des profs. Je ne l'ai qu'aujourdhui, tant pis. Selon une étude américaine, mené par la metamoteur dogpile, auquel mon informaticien adoré ne veut pas me laisser accéder, sité chez EBSI2.0, via le journaldunet, les résultats affichés par les 4 moteurs principaux du web diffèrent à 88% !!!



samedi 7 juin 2008

Liberté, mais surtout de se taire

Vu chez Yann, à propos de l'article de PCimpact sur les mesures que le gouvernement français veut prendre contre internet sous couvert de protection

Ce que nous faisons ensemble, c’est de la politique, pas du commerce. Et je comprends aisément que les Etats préfèrent nous voir faire du commerce


De plus en plus internet me rappelle l'explosion des radios libres, de l'espace de liberté à la confiscation par les marchands.

dimanche 1 juin 2008

Reseaux sociaux in plain english

Vu chez savoirs en réseaux (entre autre)


Social Media in Plain English from leelefever on Vimeo.

Management des connaissances vs participatif

Sur une liste de discussion consacré au KM j'ai rencontré quelqu'un, un spécialiste ou un amateur éclairé de management des connaissances, qui voulait des renseignements sur le KM appliqué aux collectivités.

Après discussion, c'est bien de participatif dont il parlait. Est-ce alors que le participatif est en lien avec le management des connaissances ?

Cette confusion me pose question. Elle me donne l'impression de voir deux mondes évoluer en parallèle mais qui ne s'interpénêtre pas. Et pourtant les points communs sont légions :

- partir des personnes (bottom up) et non imposé du haut (top down)
- écouter les besoins des personnes
- donner une grande liberté aux gens pour leur laisser imaginer les différents possibles mais ne pas oublier que le choix ne peut être que par les élus / patrons
- obliger les décideurs à argumenter leur choix
- une écoute attentive à la compétence et des difficultés communes à la faire émerger
- un besoin de conservation / actions des connaissances...

Le fait qu'il n'y ait pas de lien (je n'en vois pas du moins) m'étonne. Il y a bien des consultants dans ces deux secteurs (en participatif par exemple ici et ici et ici) mais pas d'interférence.

Sur le coup, je me dis que ce qui bloque c'est que le participatif insiste beaucoup sur la notion de débat et le débat en entreprise, bien plus que les aspects politiques qui sont vu derrière, nuit à l'efficacité. A contrario, le fait qu'une entreprise/organisation soit vu comme un espace purement de production, donc sans éthique gêne les lieux de participation.

On en revient au débat entre efficacité et éthique et finalement, comme toujours au pont de la rivière Kwaï.

Le management des connaissances vise l'efficacité et n'introduit la conversation (machine à café) que parce que c'est le moyen le plus efficace de faire circuler l'information.

Le participatif met le débat, non comme un moyen mais comme une fin en soi. C'est l'agora politique.

Il me semble pourtant que chacun aurait à discuter avec l'autre pour le plus grand profit de chacun.



Sur l'autonomie, un tableau chez Jacques Rodet

A voir chez Jacques Rodet, un intéressant tableau sur l'autonomie qui rejoint la question du besoin d'information chez André Tricot

vendredi 30 mai 2008

Lu chez vincent à propos du rôle social de l'entreprise et des identités culturelles qui se créés et se jouent en son sein.

Enfin, il est important de noter le rôle de l’organisation. En effet, L’entreprise a un double enjeu. Le premier concerne le besoin de mobiliser les salariés pour faire du profit. Le second enjeu concerne son rôle de socialisation. Ainsi, l’entreprise doit mettre en place des formes d’implications et favoriser l’intégration sociale. La performance économique étant dépendante de la performance sociale et des rapports au travail entre les divers acteurs de la production. L’entreprise s’appuie donc sur des mécanismes de reconnaissance des individus au travail et sur des modèles d’intégration. Ceux-ci diffèrent selon l’époque, la culture et les caractéristiques de l’entreprise.

font office, back office, workflow

Je viens de lire cet article du blog territorial, par ailleurs fort intéressant sur la communication comme levier à l'intégration urbaine.

En voici le résumé.
Pour répondre à ces attentes, trois territoires, plus ou moins nouveaux doivent être investis par les communicants : l’espace urbain, car il est le lieu du social, la modernisation des services au public parce qu’il existe une demande forte en ce sens et, enfin, le management du changement pour aider nos structures trop lourdes à retrouver un peu d’agilité.

Dans la troisième partie, il évoque, à propos de la conduite du changement, un mode d'organisation "

Nous nous trouvons dans une situation un peu comparable à celle des banques, lorsque au début des années 80 elles durent faire face à un accroissement massif de leur clientèle et à un enrichissement considérable de leurs offres. La réponse qu’elles trouvèrent pour améliorer leurs services, en les individualisant tout en assurant leur traitement en masse, se fondit sur une réforme organisationnelle radicale distinguant le front-office du back-office. Au back-office le soin d’administrer les affaires. Au front-office celui d’assurer la gestion de la clientèle, soit globalement, soit de façon spécialisée selon la nature des besoins (gestion de patrimoine, asset management…).

Ces réformes ont été rendues possibles par les techniques de workflow, tout droit venues du traitement et de la transmission de données. Aujourd’hui, l’ensemble de ces moyens techniques est disponible à un coût désormais limité : gestion de données, intranet… Reste le plus difficile à traiter : convaincre les personnels, les mobiliser, les motiver en fixant un nouvel horizon au service public sur lequel ils ont bâti leur choix professionnel.

mercredi 28 mai 2008

mardi 27 mai 2008

A la découverte du Web sémantique

observatoire des ENT

Observus, est un labo pour créer de furuturs ENT. Je me suis inscrit sur la plateforme à voir

Utiliser les archives ouvertes en TPE, une idée

A retenir, cette activité sur l'usage des archives ouvertes en TPE. C'est ici, sur l'excellentissime site de l'académie de Rouen.

vendredi 23 mai 2008

Pour verser au dossier sur la collaboration, ce schéma de chez dismoitic qui différencie collaboration et collabor'action. C'est du second concept, collaboratif, dont je parle quand j'écris collaboratif vs participatif

y'en a d'autres qui n'ont pas fini leur journée

En écho à cet article que j'ai écrits sur les anciens du desscvir à propos de "je n'ai pas fini ma journée", un billet de jacques houdremont qui se demande si "la valeur référente du développement numérique ne serait pas l'être humain".

Je crains fort que lui et moi ne soyons des idéalistes, un peu !

jeudi 22 mai 2008

collaboratif vs participatif

A la suite de cet article, je me pose la question de la différence entre collaboratif et participatif.

On connait la distinction entre coopératif et collaboratif. l'un est successif : c'est la main gauche qui ignore ce que fait la main droite ! Mais les deux concourent à un résultat dont elles sont dépossédés. Je ne critique pas pour autant ce mode-là. Il est utile dans certains contextes et à l'école, il est aussi un mode d'apprentissage. C'est le mode projet par excellence.

Le collaboratif, c'est tout le monde fait tout et s'enrichit mutuellement. C'est l'apprentissage socio-cognitif par excellence, car il y a conflit, négociation avec les pairs etc. Le mot central est bien pair et la phrase slogan "on n'apprend tout seul mais jamais sans les autres" (citation de mémoire - l'auteur est Philippe Carré il me semble). Nous ne sommes plus dans du successif mais dans l'ellipse. Toujours revenir au départ et enrichir encore ce qui a déjà été vu. C'est la communauté de pratiques.

Si coopératif et collaboratif viennent du monde de l'entreprise et de l'éducation (mais qui de la poule ou l'oeuf... ?) le participatif vient d'un autre monde, celui de la politique et des collectivités locales. Dans certaines commune, et cela tend à être imité désormais partout, c'est la volonté de mieux associé les citoyens aux décisions et de les rendre acteurs d'une part de la viue de la Cité. C'est les conseils de quartier que la loi consacre désormais, mais aussi les conseils des anciens et pas mal d'autres initiatives. Pour plus d'information, je vous conseille l'ADELS, sa revue territoire et le livre sur la démocratie participative.

La démocratie participative s'est aussi développé sur le terreau du web. Forum non modérés, expression des associations etc. ont été des actions voulues et encouragées par des communes, et des maires éclairés. C'est surtout dans l'Ouest (la roche /yon, Niort), et surtout des communes de gauche (mais pas seulement) que ces expériences se sont développées.

Bien sur le vocable se trouve à son apogée lors de la campagne présidentielle de Ségolène Royale puisqu'il en est le cœur, mais c'est quand même un mouvement qui a une bonne quinzaine d'année.

La démocratie participative serait donc le pendant actif de la démocratie représentative qu'elle n'entend pas remplacer mais enrichir.

Je pense que le collaboratif est quelque chose de facilement admis dans les organisations car, finalement, il ne remet rien en cause et surtout pas les processus de décision et finalement le mode de gouvernance des organisations. Le contexte dans lequel il s'élabore n'est pas fixé par les individus mais par la hiérarchie. En ce sens les communautés de pratique en sont un exemple avec souvent comme parrain, un haut cadre. C'est dans le cadre que se développe la collaboration.

A mon avis le participatif est beaucoup plus subversif car s'il demande échange, interaction comme le collaboratif, il demande aussi que les personnes qui participe définissent au préalable LEUR cadre. Et à ce jeux les hiérarchies sont sur le même pieds que les simples soldats, même si au final les décisions seront prises par elles.

Et je crois que cela change tout !

Le participatif englobe le collaboratif et remet l'individu au centre de tout, notamment en posant comme préalable son intelligence et sa liberté absolue. Ce n'est pas de l'anarchie car il y a toujours un processus de décision et des décisions qui sont prises et elles le sont par un leader. Mais ces décisions ont un sens.

Le coopératif, c'est la suite mathématique, le collaboratif c'est l'enrichissement par les pairs, le particpatif, c'est la négociation collective du cadre, du contexte. A mon avis !


lundi 19 mai 2008

Le temps... formation lourde, microformation etc.

Je susi en train de travailler sur une formation à la recherche d'information, et en même temps je me forme moi même sur des choses que j'ai laissée de côté en attendant le temps de le faire.

D'où cette réflexion : on apprend mieux au fil de l'eau, un peu tous les jours, en contexte, peut être, mais les journées ne durent que 24 heures, et donc, on met de côté.

Qu'un évênement imprévu vienne bousculer le temps et nous voilà sous la contrainte dans la formation lourde. On délaisse la veille pour la recherche d'information.
Les deux modes d'apprentissage sont en dialogue. il ne faut pas en supprimer un sous prétexte qu'il out of date.
Il y a juste du temps à gérer

Blogger, céest créer un réseau avec soi-même

lu ici, cette citation de rivarol "quelqu'un qui parle, c'est quelqu'un qui pense tout haut"

Une bonne définition du blogging ? C'est d'abord soi que l'on touche quand on s'exprime. Il y a donc deux ointerlocuteur, l'autre potentiellement et soi. Blogger c'est cré&er une boucle, un réseau avec soi même

Plus bas, l'auteur, dit à propos de la relation entre langage (mise en syntaxe) et pensée :

Il vaut donc mieux être capable de verbaliser un maximum de ses pensées (non pas pour soi-même mais au fond pour les autres…) et il vrai que la syntaxe est critique pour développer un raisonnement. En fait, il y a une interaction entre pensée et langage, et on sait aussi que la langue a une influence sur la pensée et le « mode de penser »[3], sans les construire toutefois. Le lien entre pensée et langage n’est pas linéaire.

dimanche 18 mai 2008

Recherche d'informations et webssssssssssss

La fin de la recherche plein texte, l'arrivée du langage naturel, de la recherche sémantique des moteurs intelligents...

25 outils de réseaux sociaux pour les bibliothèques

Décidément, l'époque est aux listes d'outils. APrès les 100 outils du e-learning, voici les 25 pour les bibliothèques avec des idées à creuser. Déjà, faudrait que je relance les netvibes pour le CDI.

vendredi 16 mai 2008

Nous ne lisons, pas nous scannons

C'est chez Francis Pisani et j'ai rien à rajouter sur la question

enseignement vs apprentissage : le tuteur est au milieu

Voici un commentaire laissé par jacques Rodet chez Guy boulet qui se propose de distinguer formation, apprentissage et productivité. Si je ne suis pas convaincu par ce que dit Guy, j'adhère complètement à ce que dit Jacques.

La formation = de l'enseignement + de l'apprentissage + du support à l'apprentissage + de l'évaluation.

L'enseignement c'est le métier de l'enseignant ou du formateur
L'apprentissage c'est le « métier » de l'apprenant
Le support à l'apprentissage c'est le métier du tuteur
Ces trois acteurs sont susceptibles de pratiquer des évaluations

jeudi 15 mai 2008

mardi 13 mai 2008

mozclouds

Je viens de tester les mozclouds sur ma page d'accueil de relation, transformation, partage. C'est pas mal comme truc. Si j'ai tout compris, on peut ensuite faire une recherche à partir de ces tags directement. A tester plus en détail !


undefinedinformation
undefinedinformations
accompagnement tutorat
accompagnement
analyse
animation
apprentissage
besoins
blog
brainstorming
cartographie
cdi
citoyenneté
classement
collaboratif
communauté
communautés virtuelles
communautés
compétences
connaissance
connaissances
curriculum vitae
curriculum
data mining
dess
desscvir
didactisation
docs
document
documentaire
documents
données
démarche commerciale
démarche
flux
formateur
formation adulte
formation
formations
heuristique
histoires
identité numérique
identité
information
informatique
intelligence stratégique
journalisme
l'information
lecture
management connaissance
management l'information
management service
management
marketing
media
metacognition
mindmapping
mining
moteur
métier
netvibes
numériques
organisation
outil
outils
page personnelle
partagée
peirano
politique documentaire
politique
portail
portfolio
pratiques
professionnelle
profs
publicité
questionnement
recherche documentaire
recherche
relation transformation partage
relation
représentation
richard peirano
rss
sources
storrytelling
symbaloo
système undefinedinformation
système d'information
système
temps
thesaurus
transformation
tutorat
télétravail
usages partagés
usages
veille
virtuelles
wordpress
éducation
évaluation

Le KM va-t-il disparaître ?

intéressant billet chez outilsfroids sur l'impact des outils sur les organisation et collatéralement la fin du KM selon lui.

j'aurai tendance à penser que les technologies 2.0 sonnent la fin du KM, sa dissolution complète et définitive dans les pratiques triviales de l'entreprise. Je n'ai rien contre le KM, au contraire c'est un sujet qui me passionne depuis longtemps déjà, mais lorsqu'on arrêtera d'en parler cela signifiera que les organisations l'ont enfin intégré (ou qu'elles ont disparu pour ne pas l'avoir fait assez vite). Il me semble que rendre le KM invisible sera un des effets collatéraux de l'introduction des technos 2.0 dans l'entreprise.
Ce sera la fin du KM car on va arrêter d'en parler. Quand on parle, on fantasme, on espère, on redoute... ce qui n'existe pas ! Cela revient à marteller des slogans en espérant, comme par magie, qu'ils deviendront réalité.

Ce qui me parait intéressant dans cette disparition annoncée, c'est que ce qui va disparaître c'est le KM vu comme un fonction réifiée, autonome ou non, de l'organisation. Il va être remplacé par les hommes, les particules élémentaires de toute organisation. C'est la fin de l'organisation struturante et centralisé. On n'organise plus au niveau macro mais au niveau micro : celui de l'humain.

Ce n'est pas étonnant si apparaît aujourd'hui cette figure du knowledge worker à qui on demande
- de faire du KM plutôt que des beaux documents
- mais aussi de la veille plutôt que de la recherche d'information,
- d'apprendre au fil de l'eau, via les flux rss plutôt que par des formations lourdes, (micro-formations)
- de former ses proches, plutôt que d'aller au lointain (développement durable)
- d'être largement autonome et de déléguer au maximum...

C'est la fin des spécialistes - demain tous généralistes ! Car demain, on devra être un peu KMer, veilleur, formateur, collaboratif... Tous les métiers veulent ces perles rares ! Et finalement le coeur de métier se fond dans cet ensemble et devient quelque chose d'anecdotique.

C'est aussi la fin du temps vu comme des blocs successifs au profit du continuum ! et c'est la fin de la distinction professionnel / privé, où mine de rien le temps organisateur de la vie est le temps professionnel (journée de travail, retraite), au profit d'un temps social / temps privé dont le centre est l'individu et non plus l'organisation.

La tentation de contrôler les connaissances hors des humains a échoué. Les barrages cèdent ! on ne peux pas arrêter le flux, on peut le piloter. Ou essayer !

Que reste-t-il aux organisations ? Organiser des contextes favorables à l'épanouissement des knowledges worker. Elles doivent désormais devenir des terreaux fertiles !


Effets de groupes sur Internet

Yann Leroux est psychologue clinicien et psychanalyste. Il étudie la dynamique des relations en ligne en général et en particulier les similitudes de comportement de groupe dans les environnement numériques (webs, forums, réseaux sociaux, jeux en ligne…).

Il gère le domaine http://www.psyapsy.org sur la psychologie et le blog ePsychologie (http://yann.leroux.free.fr/), carnet de note pour la thèse qu’il mène sur les groupes en ligne. Yann Leroux est également membre de l’Observatoire des Mondes Numériques en Sciences Humaines, http://www.omnsh.org/.

Interviewé par Suzanne Galy, pour Aquitaine Europe Communication

Psychologie des groupes sur internet
envoyé par suzannegaly

jeudi 8 mai 2008

Veille partagée avec pagesflakes et tumblr

Vu sur slideo, cette vidéo de Philippe Soussin sur comment faire une veille partagée avec Pagesflakes et tumblr. A mettre en rapport avec mon billet sur del.icio.us sur relation, transformation, partage.

samedi 3 mai 2008

Apprendre, c'est construire son identité

Lu ici

Pourquoi va-t-on à l'école ?
- pour avoir un emploi ?
- pour répondre à la demande économique et sociale ?
- pour devenir citoyen ?
- pour avoir des relations sociales ?...

n'hésitez pas à mettre en commentaire les raisons pour lesquelles on va à l'école. Quelque part, il y aura aussi une réponse à la construction de l'identité.

mercredi 30 avril 2008

On n'est pas encore tous des geeks ! (est-ce seulement qu'il le faut...)

Chez Guy Boulet, à propos d'une étude américaine qui laisse entendre que :

les travailleurs demandent de plus en plus de formation mais les employeurs ne leur offrent pas plus de soutien pour le faire.
Sans blague. Il s'agit probablement des mêmes qui proposent les outils ultra super géniaux qu'on utilise jamais. Pauvre -1.0 !

Il y a quand même un hiatus entre ce que nous ressentons, gens du 2.0 et le reste de la société. cf, chez savoir en réseaux la mise en garde du cnrs à ses membres sur l'hébergement on the clouds !

Formation transversale et retour des généralistes

Chez Guy Boulet, voici ce qu'il dit de la formation transversale :

la formation transversale est un excellent moyen pour une entreprise, en particulier une PME, de devenir une organisation apprenante car en permetant aux employés de développer une vision globale de l'entreprise, elle leur permet de mieux mesurer les impacts de leurs actions sur les autres membres de l'organisation.


On a besoin de généraliste spécialiste. Cela me rappelle un peu l'histoire des métiers de l'éducation. A un moment, il y avait en collège des sous-profs qui étaient issu des anciennes écoles primaires (après 68). Face à eux des capétiens disciplinarisé, sortant de l'université. Un certain mépris de ces derniers face à ces anciens instits et le statut a d'ailleur disparu par intégration dans le corps des capétiens. Pourtant ces anciens instits qui enseignant trois ou quatre disciplines étaient bien apprécié par les élèves, car moins segmentés.

les 100 outils d'apprentissages

Via Guy Boulet, les 100 outils d'apprentissage avec en tête del.icio.us suivi de firefox et google reader. Parmi ces outils, des trucs que j'ai en réserve et que j'aimerais bien essayer, elluminate, eXe, powerpoint, ning, voicethread (que j'ai un peu testé dernièrement), yugma, Zotero (j'ai déjà essayé et j'ai du mal à en comprendre l'intérêt).

Classement intéressant où l'on retrouve à peu près tout ce qu'on attend !

vendredi 25 avril 2008

connaissances sur internet, savoir sur le codex ?

Jean-Michel Salaûn fait un papier (;-) sur les paradoxes de wikipapier, c'est à dire l'édition papier, en Allemagne, de wikipedia. parmi les trois réflexion que lui inspire cette édition contre-nature, il évoque celle-ci :

Crédibilité. La reprise par un grand éditeur du travail de l'encyclopédie en ligne, du moins dans sa version allemande, est une victoire des Wikipédiens qui montrent ainsi leur crédibilité reconnue par les vestales de la distribution du savoir traditionnel. Mais inversement, c'est aussi une victoire pour le codex qui montre ainsi qu'il reste le meilleur garant de la stabilité des savoirs.
Est-ce à dire que le savoir, considéré comme une objectivation des connaissances, est un produit de l'univers du livre alors que la connaissance, considéré comme quelque chose en perpétuel mouvement et complètement subjectivisé aurait atteint trouvé en Internet son moyen d'expression idéal, un stade industriel déréifié des personnes ?

Peut-il y avoir un savoir avec internet ?

dernière question, pourquoi ai-je parlé de papier pour caractériser le texte de JMS ?

Un environnement personnel d'apprentissage, celui de AnneC sous mindomo

C'est ici et normalement cela devrait s'afficher sur le blog mais ça veut pas. je n'ai pas le temps de chercher pourquoi. Si qqn peut me dire comment faire. j'ai fait une copie embarqué et j'ai fait un copier coller en édition html. Ma, y'a rien !!!

A propos du partage du savoir

Je viens de lire un billet sur le transfert des compétences des seniors vers les jeunes et entre collègue dans le cadre de l'entreprise.

j'en retiens quelques idées :

- il n'y a pas que le transfert vieux / jeunes à assurer mais aussi le transfert en fonction de l'évolution de la structure. J'en conclue deux choses, il faut donc articuler la veille, la prospective et le transfert des connaissances et être réactif face à l'évolution (rien de nouveau ici). Ceci étant, un être humain à une capacité de réaction limitée. Les machines et l'organisation doivent accompagner l'évolution au rythme humain et non au rythme de la machine. Et je me dis là qu'il y a probablement une raison des suicides de chez renault (raccourci facile mais expliqué ici).

-Parmi les autres transferts, l'auteur parle des transferts inter-pays dans un contexte de mondialisation mais aussi de l'évolution des métiers. En fait, le KM est à la croisée des flux. Il est l'outil de navigation des flux pour les pilotes de flux que nous sommes en passe de devenir.

- La réponse par l'outil informatique est la fausse bonne idée. Bon ça on le sait. Par contre, Martine Le Boulaire donne trois raisons pour que le KM marche à méditer :

créer de la confiance sur la pérennité des emplois, faire de l’entraide une valeur d’entreprise, mettre dans le coup les managers de proximité. Eux seuls savent évaluer ce qui est intéressant à préserver pour l’avenir de leur entité. Et repérer tous ces savoirs tacites construits sur l’expérience.
A savoir, sécurité des personnes, collaboratif pour tous et proximité des lieux de décision (renvoit à un billet en cours d'élaboration pour les anciens du dess cvir). A voir sur le même mode, sur ce troisième point, l'article de Bertrand Duperrin sur l'organisation

On abandonnerait la notion de pouvoir lié à la position pour se diriger vers un pouvoir contractuel qui n’est plus celui de l’entreprise vers son salarié mais celui que deux cocontractants ont l’un sur l’autre. Ce qui correspondrait à un rôle nouveau pour l’entreprise : celui d’organisateur de chaine de valeur et de mobilisateur de ressources extérieures.
- L'auteur, ensuite fait une différence nette entre connaissances et compétences. Si cette différence existe, la lecture qu'elle en fait n'est pas ma grille à moi - elle met trop les connaissances sur le volet savoir/objet et attire trop l'attention sur les compétences/action. A mon sens, connaissances et compétences sont intimement liées et dialoguent entre elles.

- Enfin, une dernière chose que je trouve très féconde, le transfert de compétences/connaissances ne se décrète pas. Il ne s'agit pas d'une chasse gardée, comme elle dit, mais surtout c'est une question de motivation et de capacité de la part des transmettants potentiels. Il faut quelque part être un peu prof. Donc au tryptique, veille / prospective / KM, il faut ajouter un 4e volet : former. Nous avons là, une définition du knowledge worker.




3 formes de tutorat auprès des jeunes

à retenir, ce que je viens de lire sur savoirs pour réussir à propos de l'accompagnement des jeunes vers la réussite. Nécessité d'avoir :
- tutorat d'accompagnement individuel
- tutorat d'atelier
- tutorat de ressource

Autrement dit, le tutorat à trois dimensions, une dimension individualisé dans le temps, une dimension de groupe dans l'espace et une dimension ressource : temps espace, ressource

Interprêtation très libre du billet commenté

vendredi 18 avril 2008

De l'ethnologie appliquée au monde politique

et c'est à hurler de rire. C'est nous autres les primates !

matrix on the cloud

Oui, moi aussi, ça me fait rêver, ce billet de Louis Naugès sur le "on the cloud". J'ai toujours l'intuition que la réalité du pouvoir tient dans la maîtrise des réseaux physiques. Je pense toujours qu'un Etat peut se séparer des activités software mais qu'ils doit conserver la maîtrise des réseaux physiques (chemin de fer, conduite d'eau, ligne téléphonique etc.)

Et effectivement la réalité du pouvoir des pin up du web 2.0 tient dans leurs arrières salles.

Matrix !

sciences de l'informations

Chez redpeppers, 5 fiches sur les grands courants en SIC. il faut que je les lise, un jour...

- le paradigme interprétatif
- le paradigme technologique
- Le paradigme fonctionnaliste
- Le paradigme critique
- Le paradigme déterministe

...rappel des grands paradigmes (courants de pensée) en sciences de l’information et de la communication (SIC) tout d’abord à destination des étudiants en communication, évidemment, mais aussi de toute personne intéressée par l’étude des pratiques médiatiques et de la relation de l’individu aux médias. Ces 5 paradigmes que je vais vous présenter se différencient par les présupposés théoriques sur lesquels ils se basent, la démarche méthodologique qu’ils mettent en œuvre et au final par leur conception globale des pratiques médiatiques.

Les bénéfices de la blogosphère

vu chez webilus

mercredi 16 avril 2008

Les outils du e-learning



jeudi 10 avril 2008

Augmentation exponentielle

EBSI2.0 fait un très bon papier sur la quantité d'information créé en 2007. Rien de neuf, mais quand même, ça fait du bien de l'entendre.

en 2007, le volume total d'information numérique créée et reproduite globalement a atteint 281 milliards de gigabits (soit 451 GB par personne). Pour vous donner une idée, ce nombre ahurissant est supérieur au nombre d'étoiles dans l'univers!
A mettre en relation avec le travail que je fais sur internet c'est pas magique et sur l'histoire que je racconte à ce moment là.

Besoins de documentalistes

Celui-ci je l'ai sous le coude depuis un moment. Mais je vais pas avoir le temps d'en dire plus qu'un billet d'humeur !

Après avoir lu ce que dit jusetement Bertrand, demandez-vous ce que l'Inspection Générale de L'Education Nationale veut faire de nous, les documentalistes oeuvrant dans les CDI, ceux qui se cassent le cul depuis des années pour justement mettre en avant cette éducation plus que nécessaire à l'information. Faut allez voir trois couronnes pour quelques débats en cours et notamment sur comment les non-concernés, nous, ne seront plus des enseignants, mais de vagues conseillers en communication. Allez roulez ! Il y aura d'autres billets comme celui de bertrand et on pensera encore qu'il a raison, à juste titre, dans 20 ans.

Ras le cul !