Chez François-Bernard huygues, cette réflexion à propos de la société générale. 2 solutions à propos du hacker/fraudeur/trader, soit c'est un espion russe, soit c'est un formidable accident. Alors
"L’hyperfragilité du système se révèle : les « sociétés de contrôle » décrites par Deleuze sont censées fonctionner grâce à une pluralité de système de contrôle (elles reposent sur la détection et anticipation du risque) conjuguée avec le culte de l’autonomie, de la réalisation de soi dans le travail, du culte de la performance… D’où la tentation chez nombre d’intellectuels de dénoncer Big Brother et l’aliénation par les fameuses techniques de contrôle. Certes. Mais si ces techniques étaient tout simplement inefficaces ? et si le risque de l’accident idiot était le plus grave ?"
A rapprocher du billet précédent sur la société du contrôle en gestion du risque face à l'autonomie grandissante demandée.
En fait personne ne contrôle rien, tout le monde fait semblant, tout le monde est conscient de sa propre impuisssance et donc, tout le monde veut se couvrir !
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